Natacha et Ludivine... Jeunes Lesbiennes ! Volume 2
Merci à toi Nathalie pour ces magnifiques photos que tu nous a envoyé ! Elles sont trop belles ! Elles sont pas mimi ?
Mar 31 jui 2007
15 commentaires
QUELLE CONFIANCE QUEL ABANDON TENDRE DANS VOS ATTITUDES JE VOUS ENVIE TOUTES LES DEUX SI BELLES
philippe - le 27/08/2007 à 18h10
ces photos expriment une grande sincerité et ce n'est pas tres courant. Cet enchevetrement de corps est tout simplement sublime.
Photographe, j'aurais aimé etre celui (ou celle) qui tenFFait l'appareil...
Encore bravo.
Bisous claude.
Photographe, j'aurais aimé etre celui (ou celle) qui tenFFait l'appareil...
Encore bravo.
Bisous claude.
claudius - le 28/08/2007 à 14h06
comment representer le reve d'un mec...
vous le faites tres si ce n'est trop bien
malheureusement impossible de le realiser et c la ke reside mon grd pbleme
vous le faites tres si ce n'est trop bien
malheureusement impossible de le realiser et c la ke reside mon grd pbleme
moi - le 15/10/2007 à 11h34
merci pour ton com
Bisouuu
nat et Lud
Bisouuu
nat et Lud
Natacha et Ludivine... Volume 2
je reste sans voix!!! absolument sublime, la perfection absolue!...merci d'exister.
zebina - le 25/11/2007 à 16h25
DU BOUT DES DOIGTS
Face au miroir elle est si belle,
Elle se voit à la chandelle,
Juste vêtue de la dentelle
De son si secret rituel.
Sa main descend sur sa peau blanche,
Caresse tendrement sa hanche,
Et dans un geste défendu,
Touche ses lèvres détendues.
Le corps frémit contre la glace
Embuée sans qu’elle se lasse
Du va et viens contre sa chatte.
Elle soupir sur son image,
De cet amour sans nul partage
Donné du bout de ses doigts moites.
Face au miroir elle est si belle,
Elle se voit à la chandelle,
Juste vêtue de la dentelle
De son si secret rituel.
Sa main descend sur sa peau blanche,
Caresse tendrement sa hanche,
Et dans un geste défendu,
Touche ses lèvres détendues.
Le corps frémit contre la glace
Embuée sans qu’elle se lasse
Du va et viens contre sa chatte.
Elle soupir sur son image,
De cet amour sans nul partage
Donné du bout de ses doigts moites.
Sam Byhel - le 31/12/2007 à 12h28
